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PEPIN DE CASSIS Ω 3, 6, 9

LE CASSIS

Ribes nigrum L. Parfois appelé groseillier noir. Nom anglais: blackcurrent. Nom allemand: schwarze johannisbeeren.

Les fruits contiennent des glucides (10-14%) de la vitamine C et surtout des flavonoïdes (sous forme de rutine ou de kaempférol )et d' anthocyanosides (pigment violet). L'huile de pépins obtenue par pression à froid est riche en acides gras essentiels (oméga 3 et oméga 6) et notamment d'acide gamma-linolénique (principale source avec onagre et bourrache). Difficile à extraire elle fait partie des huiles précieuses. Les feuilles aromatiques contiennent une huile essentielle (0,2 %o), des acides-phénols (cinnamiques et benzoïques), des proanthocyanidols et de nombreux flavonoïdes. Les bourgeons contient une huile essentielle et des flavonoïdes. Huile de pépins : la présence concomittante de l'acide stéaridonique (oméga 3) et de l'acide gamma-linolénique (oméga 6) explique le rôle de cette huile dans l'équilibre du système de défense contre l'inflammation (prostaglandines 1 et 3) et la protection du cœur et des vaisseaux. Par ailleurs la présence d'alpha-tocophérol (vit.E.) antioxydant majeur, complète son action protectrice cellulaire au niveau de l'épiderme. Huile de pépins : en application cosmétique dans la prévention du vieillissement et comme produit de base pour vos huiles de massage articulaires et les soins d'entretien du visage, du cou et des mains. Les flavonoïdes: le cassis nous fait a fait découvrir un groupe de substances naturelles (plus de 3000 différentes) qui, sous le dénominateur de flavonoïdes sont utilisées par les végétaux notamment pour se protéger des rayonnements solaires. Ce sont elles qui sans doute expliquent que le gingko biloba soit le seul végétal qui ait survécu aux bombardement s d'Hiroshima.Ces pigments colorés sont contenus dans un grand nombre de plantes qui ont en commun de précieuses propriétés protectrices de notre santé (raisin rouge, feuilles de vigne rouge, pulpe de citron, ginkgo biloba, passiflore, thym: vulgaire, camomille noble, achillée millefeuille, chrysanthellum , chardon marie, parmi les plus connues).

PEPIN DE CASSIS de chez NATUREGE 01480 JASSANS France

Ingrédients et principes actifs - Huile vierge de pépin de Cassis de première préssion à froid naturellement riche en acides gras éssentiels : - 16 % OMEGA 3, - 66 % OMEGA 6, - 10 % OMEGA 9

Capsules en gélatine marine tirées de la peau de poissons sauvages.

Les mécanismes d'action L'huile vierge de Pépin de Cassis est composée d'acide stéaridonique (3), d'acide gamma linoléique (6) et d'alpha tocophérol. Régulatrice et régénératrice de l'épiderme, elle est utilisée pour lutter contre la déshydratation, la sécheresse et le manque d'élasticité des phanères (peau, ongles, cheveux …). Les oméga 3, 6 et 9 sont des Acides Gras Essentiels (A.G.E) qui protègent le système nerveux et cardio-vasculaires et réduisent les troubles de la circulation. L'Huile de Pépin de Cassis améliore l'accuité intellectuelle, la mémoire et le bon fonctionnement des cellules de la rétine.

Conseil d'utilisation : Usage interne : 2 à 6 capsules par jour. Usage externe : percer la capsule et appliquer l'huile sur la peau.

Les acides gras oméga-3

Les oméga-3 sont utilisés dans l'élaboration d'acides gras hautement insaturés et d'eicosanoïdes de série 3. Ces substances ont des effets favorables sur la composition des membranes cellulaires ainsi que sur de nombreux processus biochimiques de l'organisme, notamment la régulation de la tension artérielle, l'élasticité des vaisseaux, les réactions immunitaires et anti-inflammatoires, et l'agrégation des plaquettes sanguines. Parmi les oméga-3, seul l'acide alpha-linolénique (ALA) est qualifié d’« essentiel ». En effet, les autres acides gras oméga-3 peuvent être synthétisés par le corps à partir de l'ALA. Il est particulièrement présent dans l’huile et les graines de lin et de chanvre, ainsi que dans l'huile de canola (colza) et de soya. L'acide eicosapentanoïque ou eicosapentaénoïque (EPA). Le corps humain peut le synthétiser à partir de l'acide alpha-linolénique, bien que le taux de conversion soit très faible. Il est donc important de consommer des aliments riches en EPA, notamment certains poissons gras. Les populations qui consomment de grandes quantités de poisson (les Inuits du Groenland et les Japonais, par exemple) sont nettement moins touchées par les maladies cardiovasculaires. Par ailleurs, l'EPA se transforme en eicosanoïdes de série 3, des substances qui contribuent à la protection des artères et du coeur et qui ont des effets anti-inflammatoires et anti-allergiques reconnus. L'acide docosahexanoïque ou docosahexaénoïque (DHA). Le DHA est également présent dans les produits marins, plus particulièrement dans certains poissons gras. Il joue un rôle fondamental dans le développement du cerveau et de la rétine ainsi que dans la formation et la motilité des spermatozoïdes.

Les acides gras oméga-6

Le corps utilise les oméga-6 pour élaborer des d'acides gras hautement insaturés et d'eicosanoïdes de séries 1 et 2. Ces substances jouent un rôle important dans le bon fonctionnement des systèmes nerveux, cardiovasculaire, immunitaire, ainsi que dans les réactions allergiques et inflammatoires et la guérison des blessures. Consommés en excès, les acides gras oméga-6 peuvent empêcher que les effets bénéfiques des acides gras oméga-3 se manifestent, notamment sur le plan de la protection cardiovasculaire. Un excès d’oméga-6 peut aussi provoquer des douleurs et des maladies inflammatoires comme l'asthme ou l'arthrite. Parmi les oméga-6, seul l'acide linoléique (AL) est qualifié d’« essentiel ». En effet, les autres acides gras oméga-6 peuvent être fabriqués par le corps à partir de l'AL. Contrairement à l'ALA, il est abondamment présent dans l'alimentation moderne : huiles de maïs, de tournesol, de soya, de carthame, de pépins de raisin, etc. L'acide gamma-linolénique (AGL). Le corps synthétise l’AGL à partir de l'AL, mais plusieurs obstacles peuvent nuire à cette conversion : une consommation excessive de cholestérol et de « mauvais gras » (trans, saturés, etc.), l'alcool, le vieillissement et le diabète, par exemple. On peut aussi consommer des produits qui sont des sources directes d’AGL : huile de bourrache (24 % d'AGL), d'onagre (8 % d'AGL), de cassis (18 % d'AGL) et spiruline5. L'acide dihomo-gamma-linolénique (DGLA). C'est un dérivé de l'AGL. La seule source alimentaire connue est le lait maternel. Le DGLA se transforme en eicosanoïdes de série 1 qui contribuent à la protection des artères et du coeur, stimulent l'immunité et ont des effets anti-inflammatoires. L'acide arachidonique (AA). C'est un dérivé du DGLA. Le jaune d'oeuf et les gras animaux en sont des sources directes. L'AA, parce qu'il est utilisé dans la synthèse d'eicosanoïdes de série 2, assure la cicatrisation et la guérison des blessures et contribue aux mécanismes des réactions allergiques. Cependant, un excès de ces eicosanoïdes peut entraîner des maladies comme l'arthrite, l'eczéma, le psoriasis et plusieurs maladies auto-immunes.

Les acides gras oméga-9

Autres noms : acides gras monoinsaturés, acide oléique. Description Les acides gras oméga-9 sont également nommés acides gras monoinsaturés parce que la chaîne d’atomes de carbone qui compose leur molécule comprend une seule liaison double, à la différence des acides gras polyinsaturés (oméga-3 et oméga-6) qui en comprennent deux ou davantage. Le principal acide gras oméga-9 est l’acide oléique. L’organisme peut fabriquer les oméga-9 à partir des gras saturés. Il les puise aussi directement dans plusieurs aliments dont, notamment, l’olive et l’huile d’olive (voir la section Sources alimentaires). Bien qu’elle contienne principalement des oméga-9, l’huile d’olive renferme d’autres acides gras, comme tous les corps gras naturels. En moyenne, elle contient 76 % de gras monoinsaturés (oméga-9), 9 % de gras polyinsaturés et 15 % de gras saturés. Le profil de l’huile de maïs, par exemple, est très différent : 25 % de gras monoinsaturés, 62 % de gras polyinsaturés et 13 % de gras saturés. Dans l’état actuel de la recherche, les experts estiment qu’un régime alimentaire riche en acides gras monoinsaturés pourrait contribuer à réduire le risque de souffrir de troubles cardiovasculaires. Ainsi, dans un avis publié en 19991, l’American Heart Association (AHA) fait les recommandations suivantes : · l’apport quotidien en calories provenant des matières grasses ne devrait pas dépasser 30 % de l’apport énergétique total (calories); · La moitié de ces matières grasses devrait provenir des gras monoinsaturés (oméga-9), un quart, des gras polyinsaturés (oméga-3 et oméga-6) et le dernier quart, des gras saturés; · on peut remplacer une partie des gras saturés par des gras monoinsaturés, à condition de ne pas excéder la limite totale de 30 % de l’apport énergétique quotidien provenant des matières grasses.

BIBLIOGRAPHIE : VOIR CASSIS

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